Caroline Amoros Article de Thomas Hahn


Caroline de Macadam. 
Thomas Hahn, critique Revue Cassandre 

A chaque Miss sa couleur, pour  symboliser son statut social, ses états d‘âme.

Caroline Amoros alias Princesses Peluches est une exploratrice de la société, de ses recoins cachés, de ses toiles immatérielles. La surface urbaine est son support. Klein voulait modifier le rapport de l’individu au monde. Rêve masculin par excellence, rêve de puissance par la poésie, rêve de la poésie du pouvoir.

Les Miss  réfutent tout fantasme utopique de transformer le monde par le haut, en étant son prophète. Les complices d’Amoros agissent sur place, dans la vie concrète.

La dénonciation du consumérisme va dans le même sens que lors des performances orchestrées par  Rodrigo Garcia, mais les images d’Amoros tranchent de façon plus nette, plus profonde. Elles tombent comme des couperets parce qu’elles décèlent la violence enfouie dans nos habitudes quotidiennes. Images qui marquent contre les marques commerciales, comme les textes de Garcia.








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